Face à la multiplication des rumeurs circulant sur les réseaux sociaux et certains médias à propos d’une prétendue fuite de données, le ministère de la Justice a tenu à clarifier la situation. Dans un communiqué officiel, il dément formellement toute compromission de ses systèmes informatiques.
Le ministère de la Justice a affirmé que les données évoquées dans les allégations diffusées ne sont en aucun cas liées à ses bases de données ni à ses plateformes numériques. « Nos services fonctionnent normalement et en toute sécurité », précise-t-il, ajoutant qu’aucune attaque ni fuite n’a été enregistrée.
Les plateformes numériques du ministère, qu’il s’agisse de services judiciaires ou administratifs, restent pleinement opérationnelles. Leur sécurité est assurée par des protocoles de cybersécurité multicouches, respectant les standards internationaux les plus récents.
Le ministère souligne qu’il mène des tests et des évaluations techniques réguliers, réalisés par des équipes spécialisées, afin de garantir la résilience et la fiabilité de ses infrastructures numériques.
Cette réaction s’inscrit dans un effort de transparence, mais aussi de prévention face aux désinformations susceptibles d’inquiéter inutilement l’opinion publique. L’administration appelle ainsi les citoyens à s’informer uniquement via les canaux officiels, et à faire preuve de prudence face aux contenus diffusés sans preuve ni vérification.
Enfin, le ministère réaffirme son engagement total pour la protection des données sensibles traitées par ses services. Il assure poursuivre ses efforts en matière de cybersécurité, dans un contexte mondial où les menaces numériques se multiplient.